« C’est une histoire qui n’a pas de fin…chaque lecteur y apportera sa touche et en poursuivra le fil d’Ariane.
Qui ne souhaiterait pas fermer les yeux et écouter, tout simplement écouter? Écouter avec le cœur comme nous faisions du temps où nos mères, nos grand-mères intarissables, nous contaient de leur voix douce et rassurante de fabuleuses histoires qui nous ont tant bercés, qui nous ont transportés dans des mondes magiques, des mondes qui ont façonné nos rêves, modelé nos esprits.
Écouter de tout notre être pour entrer par la grande porte dans le monde enchanteur où grouillent des personnages multiples qui hantent notre imaginaire collectif kabyle : waghzen (l’ogre), tteryel (l’orgresse), a3eqqa yessawalen (le grain magique), tafunast igujilen (la vache des orphelins)… Communiquer avec le pouvoir guérisseur des mots de notre langue toujours vivante malgré des siècles d’hostilité. »