Visionnaire, Charlie Chaplin mesurait déjà le danger du régime nazi dans « The Great Dictator », chef-d’œuvre réalisé en 1940.
Pour répondre à la bassesse de la dictature militaire qui s’installe en Algérie, en s’appuyant sur l’intégrisme islamiste, les opportunistes et la lâcheté des pseudos démocrates, j’ai choisi de vous livrer le discours (adapté en kabyle) de Charlie Chaplin à la fin du film « The Great Dictator ».
Ps : Ce discours final, ode à la liberté que Chaplin récita devant le président Franklin Roosevelt, débutait par ces mots « la vie peut-être libre et belle… »